Rendez-vous avec la religion... [Terminé]

Linia regarda Dentoria qui semblait plus hardit, ou plus impatiante, commencer a faire tout un discours, souriant. Ses yeux se tournère rapidement vers un coin de la salle. Elle ne voyait pas la personne, mais sentait sa préscence... c'est sa le grand problème des manoirs, plusieur coins sont trop peu éclairer. Du coups, elle n'écouta aucun mot de Dentoria. Pourtant, on aurait pus croire que si, vue que le sourire tournait. Elle aggripa fortement sa dèrnière dague.

Elle entendit a peine le mot jolie sourrire, la ramenant a elle et la suite elle l'entendit pleinement, ce qui l'a fit un instant rougire de confusion, car apprement ce que disait Dentoria semblait avoir été important...

Elle se reconcentra sur Dentoria reprenant son sourrire. Elle écouta cette fois le discours de Dentoria. Soit elle avait dit une énrome bêtisse au début, soit elle était affreusement géner, car elle puvait sentire dans sa voix comme une certaine confusion. Et apparement, elle était entrain de constater que Linia pourrait sortir si elle le voulait.

Elle se mordit la lèvre inférieur. Devait elle lui dire ou non la raison pour laquelle cela était faux, que même en le voulant comme si sa vie en dépendait elle ne pourrait le faire? La prendait elle pour une folle? Prendrait elle peur et partirait elle malgré ses recommandation, et risquerait sa vie dans une forêt plus dangereuse qu'un manoire comme celui-ci? En tout cas, il y'avait plus de chance dans l'éventuallité de ne plus la revoire, que dans celle qu'elle resterais calme.

En tout cas, sans s'en rendre compte, elle rougissait légèrement. Elle attendit voire si la prêtresse allait dire autre chose, et éffectivement. Elle lui posa une question tout a fait normale. Linia répondit, souriante.

" La seule personne qui ai reussis à me blesser, est une personne qui est maintenant entrain de revenir en ses lieux, et non pas pour m'agresser, du moin, cettes personne n'en ai pas obliger, et n'ai pas du genre sadique je l'espere. Ensuite, vous dire que je n'ai jamais eu à tuer pour défendre la vie de mon père ou la mienne serait un mensonge de la pire espèce. J'ai effectivement deja pris la vie d'humains. Non pas dans le but d'être la juge de crîmes que je connais pas sur eux, seulement dans le but de sauver la vie de personne que j'aime... Ce genre d'acte, je suis sûre que je devrait recommencer avant l'arriver de la personne qui prendra ce manoire et le con... escusez moi je divague du sujet. J'ai répondue à votre question. Maintenant à vous de répondre à la mienne. N'avait vous jamais été tenter de vous venger, malgré votre statut? "

Dentoria pourrait mal prendre cette question, alors que Linia ne faisait que comme toutes personne ne connaissant pas, chercher a connaittre, a apprendre.

Linia remarqua la grimace, comme souvent les gens le faisait lorsqu'ils ne comprenaient pas vraiment pourquoi on aurait pus tuer des gens. En réaliter, c'était surtout l'abscence du savoir des vériter de ce monde, et plus précisément de cette île, qui les faisait mal réagire dans ce genre de moment. Si on savait que Linia vivait dans un manoir remplit de vampire, qu'Okami en était un, et qu'elle était son garde du corps, peut être que cela se passerait mieux, même si il est toujours déplaisant d'apprendre ce genre de chose d'une personne.

Quand Dentoria détourna le regard, Linia se sentit, d'une vexé, de deux déçus. Mais au même moment, la préscence s'anima et bougea dans le fond. Qui était-ce? Que voulait cette personne? En tout cas, elle n'en savait rien... Elle re-concentra sur Dentoria, le sourrire éffacé laissant place à un visage neutre en tout point, chose rare chez les personnes. Personne presque n'arrivait à exprimer aucune émotion dans son regard, dans son visage, ou même dans sa respiration. Car, suivant le rythme de cette dèrnière on pouvait déterminer une certaine exitation, un certain calme ou encore la colère ou la sympathie si on ce concentrait dessus. Hors là, elle n'exprimait ni froideur ni chaleur, ni sympathie ni colère, ni joie ni tristesse. Mais même dans cet état, elle restait acceuillante dans sa façon d'agire. Car, être acceuillante n'était pas une question d'émotion propre, mais une façon d'être lorsque l'on considère une personne comme sympathique ou non.

Elle écouta jusqu'a la fin les propos de Dentoria et en déduis que malgré tout ses maux, jamais elle n'avait connut la peur de mourrire... quelle dommage, car c'est dans ce moment qu'on décide ou non de tuer. C'est dans ce moment ou la seule émotion est la survie, tuer ou être tuer, c'était la dure réaliter dans ce genre de moment. Linia n'aurait sans doute jamais tuer personne, si elle n'avait connut cette peur. C'est pour cela qu'elle aficha un faible sourrire, avant de parler.

" J'en conclus donc que, malgré une vie difficile, vous n'avez encore jamais été menacer ouvertement de mort, ou si telle est le cas, la personne n'est jamais passer à l'acte. Vous ne pouvez comprendre, tout comme je ne peux comprendre vos maux, ce que cela fait d'être ceinturer par un bras et avec une arme sous la groge, sur la tempe, ou à tout autre endroit vitaux. Vous ne pouvez comprendre ce que cela fait lorsqu'on est dans le cas vulgairement dit "Tuer où être Tuer". Malgré que cela est diffcile à admettre, c'est sa la réaliter de la nature. Vous ne croyez quand même pas que nous somme ici pour tous nous aimer, la preuve, même les animeaux ce batte entre eux. Ils tuent pour éviter d'être tuer. L'homma agis de la même façon, lorsqu'il est directement face à la mort... Vous ne pouvez comprendre, ce qui est joyeux pour vous. Espérer ne jamais le comprendre, car sinon, cela voudrait dire que vous devriez tuer ou être tuer... "

Elle laissa à Dentoria le temps de répondre, et de poser sa question avant de reparler. Elle n'affichait plus qu'un mince sourrire, non forcer heuresement, et faisait tourner le liquide contenue dans son verre.

Elle réfléchit à peine à la question de Dentoria, car il n'yavait pas à réfléchire, mais à répondre. Et elle répondit sans chercher ses mots, car ils venaient à ça bouche d'eux même.

" Pourquoi aurai-je honte d'avoir commis ce que j'ai fait? D'après moi, si il y a un vrai pécher, c'est celui de ne pas assumer ce que l'on a fait, d'éssayer de le cacher, de ce mentire à sois-même. Le fait de tuer n'est pas un véritable pécher, mais le fait de le cacher, oui. Comprenez vous ce que j'éssaye de vous faire comprendre? "

Linia fit comme à son habitude, elle ne fit qu'écoute rjusqu'a la fin la prêtresse, ayant quelques moment d'abscence pour regarde le fond de la salle. Elle pouvait maintenant ressentire sa respiration exité, et ses yeux poser sur elle. Elle pouvait presque arriver à situer cette personne, mais ne savais rien de son identité. Certains et certaines des employers de la maison restait des fois dans les coins d'ombres, c'est pour cela que Linia ne faisait que surveiller dès qu'elle sentait un changement bursque. Hors là ce fut le bruit d'un soupire si imperceptible qu'elle l'avait à peine entendue.

La prêtresse défendait fermement ses opinions. La seule chose dont elle avait tort, du moin pour Linia, était sur le fait que les animeaux s'enfuyait toujours... face à l'homme, l'animale fuit lorsqu'il sent une certaine supérioriter, et attaque lorsqu'il est bléssé et ne peut plus fuir, ou lorsqu'il sent son térritoire menacer pour le cas des ours. En réaliter, exemple des loups, ils s'entrent déchique pour savoir qui sera chef, et s'entrent tue lorsqu'il y a de la nourriture. C'est ainsi pour la plupart des animeaux, c'est pour cela que Linia n'aimait pas les documentaire animalier.

Ce qui la déçut par contre, c'est le fait que Dentoria, comme beaucoup d'autre humains, ce soit écraser devant elle... au lieu de défendre ses idées jusqu'au bout, elle prefera se taire car Linia lui avait seulement dit qu'elle ne pouvait pas comprendre. C'était asser décevant pour elle. Elle s'attendait à plus de répondant.

Ensuite elle écouta la nouvelle lancé de Dentoria. C'était asser intéréssant, mais ce n'était pas ce qu'avait dit Linia, car elle n'avait pas dit qu'il n'yavait qu'un seule pécher, mais que le pécher originel, celui qui est le plus grave et qui a donner naissance aux autres, était le mensonge. C'est ce que l'on apprend lorsque l'on devient prêtresse D'Odin, de Thor ou de Heimdall. Le mensonge est le premier pas vers la deception de son dieu, malgré que les vikings n'avait pas la même peur de leurs dieux que les chrétiens, pouvant les maudires et cracher sur leurs temples, ils avaient quand même envie d'être honorer par eux. C'était dommage que la prêtresse est mal compris ce qu'elle voulait dire, peut être n'avait elle pas été asser claire...

Linia fut surprise, prenant un visage qui montrait bien sa surprise. Elle venait de se remettre en toutes elle même, ce qui n'était jamais arriver de sa vie. C'était désagréable... mais agréable en même temps. La première personne ayant réussis à la mettre en désaccord intérieur fut une prêtresse, même son père n'avait jamais reussis, aucune servante, aucun garde, aucun maitres d'armes... Elle regarde Dentoria avec plus d'interet mélé à de l'intérrogation, sortant de sa rêverie et de son conflit intéreieur par la sensation de la main de celle-ci sur son épaule.

Elle lui dit la première phrase qui tentait de mettre en échec Linia, ce qui la fit sourrire. Personne n'osait jamais à part son père.

" Bon apparement vous m'avez très mal comprise... je n'était pas entrain de dire que l'unique pécher était le mensonge. J'éssayais de vous faire comprendre que les prêtresse d'Odin, par exemple, pense différment que vous. Pour vous le pécher originel, je ne le connais pas. Pour moi et mes ex-conseoure, n'en étant plus une depuis que j'ai prouver qu'il ne s'agissait que de philosophie et qu'il ne fallait garder que le coter "savoire" de ces légendes, c'était le mensonge. Le mensonge était la base de toute. un homme qui tue et qui se ment à lui même dans vos pécher, car tuer ne fait pas partit des notres, il vas recommencer car il n'assume pas et qu'il est en conflit en lui, donc ce mensonge vas crée d'autres pécher. Un homme est capable d'en tuer un autre juste pour un mensonge. Vous comprenez mieux où je veux en venir? "

Linia se stoppa net. La préscence s'avançais vers eux... et c'était désagréable. Elle ne semblait pas amicale, et Linia ggripa fortement sa deuxième dague. Elle s'arrèta, toujour dans l'ombre, à quelques mètre de Linia et Dentoria...

Linia écoutait, et pour la première dans une discussions, elle écoutait réellement tout. Même les détails, elle ne souciait plus guère de la précense dèrrière elle, ce méfiant quand même. Enfait, elle se surpris elle même à faire ça, car c'était vraiment la première fois fois... peut être était-ce le fait que Dentoria la défiait dans ces propos, enfin par défier, le sens était plutôt, n'était pas en accords avec son opinions et la contre disait. C'était la première fois aussi, et c'était, pour Linia, agréable, pour tout humain normalement constitué, désagréable.

Elle lui reparla du pécher originel, disant que cela n'était qu'une façon comme une autre d'attirer les gens. Hors la religions dont elle faisait partit n'avait aucun pécher, cette religions parlait des péchers des autres pour s'en moquer. Ensuite elle parla du fait que tuer n'était pas un pécher. Comment aurait-elle pus dire le contraire vue ce qu'on fait les inquisiteurs et même encore maintenant.

La prêtresse finit par lui demander si elles pouvaient ardez contact une autrefois, ce qui ne génait pas vraiment Linia, au contraire même, et, au moment où Linia allait répondre, elle ce pencha vers elle. Elle lui murmura que c'était une façon pour lui demandait si elle appréciait sa compagnie, ce qui eut pour effet de faire légèrement rougir les joues de la jeune femme. C'était bien la première fois qu quelqu'un se souciait de savoire si elle appréciait sa compagnie.

" Donc, en réponse, je dirais oui, que nous pouvons garder contact dans le futures, et que oui, en effet, j'apprécie beaucoup votre compagnie. D'une, car vous défendez vos idées, de deux, vous n'avez pas peur de me contre dire, de trois, ça c'est personnelle... peut être serez vous au courrant de cette chose dans nos discution futur. En attendant je vous pro... "

Linia fut couper par un petit grognement dans son dos, et une vibration dans l'air qui montrait que la préscence venait de bondire sur elle. Elle se retourna légèrement, et poussa un soupire, avant de prendre cette chose dans ses bras. C'était simplement le seule chat de ce manoire. Elle le caressa légèrement avant de reprendre.

" Donc j'allais dire que je vous proposait de vous montrez votre chambre, si vous ètes fatiguez bien sûre. Et ne faites pas attention à lui, ce n'est rien, juste un petit jeu pour lui. Ce n'est pas rere lorsque je ne suis pas dans le bu... mon bureau maintenant... "

La jeune intendante souriait deja un peu plus, posant le chat à terre, qui monta sur un meuble pas très loins, pour baîller, et se mettre en boule en attendant qu'on s'occupe de lui. Pour le moment Linia regardait Dentoria, et fit un léger bond en se coupant la main avec la deuxième dague.

" Aïe... j'avais oublier celle-la... "

Elle posa la dague sur la dable, et regarda sa main ensanglantée. Comme toute les blessures aux mains, sa "pissait" le sang, vulgairement dit. Mais ce n'était jamais bien grave.

" Je suis navré pour... ça. Donc je vous proposait de vous montrez votre chambre, pour la 3 ème que je me répète je devient sénile, qu'en dites vous? "

Elle éssayait, tout en disant cela, d'enrouler sa mains d'un bout de tissue, ce qui était facile seulement dans les films.

(Désolé pour la dague, l'ayant oublier, je devait bien trouver un moyen de la remettre dans le scénario, et non pas qu'elle disparaise.)

Linia tentait toujours de s'occuper de ça main bléssé. une toute petit blessure comparer à la balle qu'elle avait pris il y a longtemps, la première fois qu'elle ce battait. Elle re-songea à ce moment, l'angoisse que l'on éprouve, la peur de mourrire et même loursqu'on arrive à tuer son adversaire, l'angoisse d'avoir tuer un homme de sang froid, et surtout de mourrire de la blessure, en souffrant...

Elle fut sortit de ses songes asser rapidement, et, part reflexe, mit sa mains à l'endroit dont la cicatrice n'apparaissait plus grâce à un miracle, regardant Dentoria. Elle venait de lui demander quelque chose d'improbable, où ce trouvait la salle de bain pour éviter de la laisser se vider de son sang. La main n'était surement pas l'endroit où on pouvait perdre asser de sang pour mourrire si on mettait rapidement un garrot, et que l'ont pratiquait ensuite les soins nécéssaire qui était très léger. D'où sortait elle sont "vous vider de votre sang"?

En tout cas, elle n'était pas medecin et ça ce voyait. linia la regardait avec des grands yeux, complètement étonné de cette réfléxion, et au moment où allait enfin répondre, elle fut couper net par la prêtresse. Comme-ci celle-ci avait lue dans ses penser, elle venait de dire que même ayant beaucoup de serviteur elle voulait le faire elle même, ce qui eu pour conclusion de faire roguire légèrement les joues de la jeune bourgeoise, légèrement ébahis.

Elle se leva, enfin fut forcer de se lever car Dentoria la levait avec une faciliter déconcertente. Linia commença à s'exprimer en béguaillant tout en commençant de marcher.

" Il y'en a... à chaque... chaque étage... la plus... proche ét... étant après le couloir... le couloir dèrrière nous, à gauche... "

Linia entendit le miaulement moqueur du chat. Elle se tourna vers lui et le foudroya du regard, ce qui le mit au silence. Ce chat était vraiment spéciale... et il resterait dans ce manoire, que Linia le veuille ou non. Il en est l'un des plus vieux habitants, étant deja là quand Linia était petite. Il n'avait rien de spéciale à part le fait qui ne vieillissait plus, et qu'il comprenait les sentiments humains. S'étant attacher à ce manoire, même quand Linia voulait l'emmener quelque part en dehors du terrain du manoire, il s'arrètait, s'assayait et la rappellait... vraiment un chat particulier...

Linia se laissait "souelver" par Dentoria, remarquant que certains gardes les regardaient d'un air ébahis. Linia elle même ne savais pas vraiment pourquoi ont l'aidait à se lever pour une blessure à la main, et non pas à la jambes. Mais bon, elle se laissait faire malgré qu'elles était dans son manoir et non chez Dentoria, que l'invité était Dentoria et non elle. C'est ce qui devait étonner les gardes, vue leur façon de réagire, voire la maitresse des lieux ce laisser faire comme cela. Elle se méfiait de certains, qui semblait vouloir les rejoindres pour s'assurer de sa sécurité, ce qui était peut être sympathique, mais qui énervait beaucoup Linia. Elle ne pouvait jamais rien faire sans protection, alors que la majoriter de ses gardes la craignait. C'était donc inutile, en plus de cela aucune éxitation à l'idée de tuer ne sortait de la bouche de Dentoria. Cette éxitation ennivrante qui donnait à Linia envie de vomire lorsque cela la prennait... car, comme toutes personnes entrainées avec des vampires, elle ressentait une sorte de rage en combattant, une rage libératrice, mais aussi une éxitation, qui lui faisait peine à admettre ensuite.

Mais la n'était pas la question. Elles restèrent un moment sur place, et Dentoria parlait pour la rassurer, ce qui ne servait strictement à rien, vue que Linia ne s'inquiètait pas... Mais elle admettait que c'était agréable de sentire que quelqu'un s'inquiètait pour sa santé, non pas physique, mais morale.

Elles commençèrent enfin à s'avancer dans les couloirs, et Dentoria fini par annoncer une troisième raisons au deux précédente pour que Linia n'est pas à s'inquièter. Celle-ci la fit rougire légèrement, et elle baissa la tête, ce qui était rare, surtout dans sa demeure.

Enfait c'était car elle ne trouvait pas quoi répondre qu'elle baissa la tête. Mais pourquoi rougissait-elle, même elle n'en avait pas la réponse. C'était inconsiémment qu'elle rougissait. Et donc un long silence s'en-suivit. Elles continuèrent à marcher en silence jusqu'a trouver une porte ouverte. Dentoria fit rentrer Linia, avant de refermer la porte à clef, ce qui fit sourrire Linia, car surement les gardes présent dans l'ombre devait se sentire stupide.

" Nettoyer une plaie ce n'est pas la meuilleur idée, du moins lorsque l'on as sortit aucune trousse de soin, rien pour désinfécter juste après, ou pour pouvoir bander la blessure... Et merci d'avoir éssayer de me rassurer, mais c'était inutile... et aussi je ne doute pas du fait que vous... vous... vous soyez douce et... cali... caline... "

Linia avait eu un peu de mal à finir sa phrase, mais était contente d'y être parvenue. C'était étrange quand même...

Linia, qui était assis sur une chaise et qui regardait Dentoria, eu un mince sourrire aux dire de celle-ci. Cahque personne met çes trousses de soins dans un endroit différent. Elle voulut luid ire qu'il y'avait bien de quoi désinfecter ici, mais s'amusa deja à l'idée de la voire réfléchire. Elle ne profita pour regarder plus en détails sa sois disante tenue provocante. C'est vrai que c'était rare de voire une prêtresse dans une tenue aussi avantageuse, mais dela à dire provocante.

Linia se surpris même à détailler la prêtresse... c'était incorrect et surtout, c'était la première fois qu'elle y pensais depuis le debut de la soirée. Mais là, elle ne pouvait s'en empècher. Elle la détaillais, en rougissant, et détournait le regard lorsque Dentoria tournait la tête brusquement, et revenait sur elle plus tard. C'était systématique. Et elle avait deja obsever le phénomène chez beaucoup de gens... cela devait faire partit de la sociabilité des gens.

Soudain, elle se sentit honteuse, car elle remarqua que Dentoria la regardait dans le miroire alors qu'elle al détaillais. elle tourna vivement la tête. Elle sentit aussi Dentoria la lacher et se diriger vers la porte. Ce qui avait sembler long pour Linia n'avait été enfait qu'une ou deux minutes.

Elle lui demanda où était les trousses de soins et Linia regarda de nouveau la jeune femme puis dit, en montrant la glace.

" Vous oubliez que l'alcool pour désinfecter ne se trouve pas forcement dans les trousses de soins... ouvrez à partir du coter, il doit y'avoir du coton et de quoi désinfecter... "

Elle lui fit un sourrire, rougissante encore de honte d'avoir détailler une prêtresse, et surtout de l'avoir fait sans permission ni trop de retenue, comme si elle n'était qu'une simple mendiante venue demander le sous ou alors une personne... dont le corps attirait le regard... Linia chassa ces pensées de son esprit et se re-concentra sur la situation présente.

Linia regarda Dentoria un instant avant de plonger son regard sur le sol, l'air pensif. Elle éssayait de comprendre beaucoup de choses en même temps, ce qui lui donnait un mal de crâne conséquent à une personne qui serait entrain de se demander pourquoi elle a fait telle chose, pourquoi elle se demande ceci, pourquoi ne se le demanderait elle pas etc...

Elle finit par relever la tête en etendant la voix de Dentoria. Elle remarqua à peine que celle-ci était géné, son sourrire la trahisait peut être plus que ce que Linia voyait. Elle ne faisait pas vraiment attention à ce détails, trouvant le sourrire l'une des meuilleurs façon de montrer ses sentiments, cette fois elle n'en faisait pas la distinction entre un sourrire forcer ou un sourrire d'affection, de tristesse ou autre... elle n'avait pas vraiment la tête à ça. Elle répondit avec un sourrire, le même qu'en début de soirer, mais qui avec une voix qui trahissait une certaine confusion.

" Ce n'est pas vraiment ce que vous devriez dire. En ce moment vous ètes perdue, psychologiquement, car vous découvrez un nouvelle endroit. Je suis même sûre que vous avez surement ressentit une gène sous le regard asser... inquisiteur des gardes. Pas la peine de me répondre, je n'attend aucune réponse pour le moment, pas la peine de vous torturer l'esprit et de déformer votre visage dans le doute. "

La jeune femme ce ressaisie au bon au moment. Elle ne voulait plus cacher la vériter, mais le devait... C'était asser génant pour une femme qui avait dit plus tôt que le mensonges était quelque chose d'horrible...

Tout en pensant à ça et en écoutant Dentoria, qui lui disait que sa risquerais de piquer, en lui aggripant le poignet avec douceur et lui lançant un regard qui devait ce vouloire réconfortant, et qui valait 100 fois des paroles rassurantes, elle se moridllait la lèvre inférieur. Quelqu'un qui ne fait pas attention pourrait juste se dire qu'elle le fait sous la douleur, et ne remarquerais pas le stress du mensonge qui se cachait dèrrière...

Elle ce calma au bout d'un petit moment, et mis une trentaine de seconde avant de répondre à Dentoria d'un signe de tête qui voulait surement dit "Oui pas torp de mal.". Linia regarda sa main un instant, et répéta de nouveau ce qu'elle avait dit plus tôt dans la conversation.

" J'espere que vous m'appréciez assez pour supporter une vérité mais je vais d'abord poser une question, dont tout à l'heure je n'attendais aucune réponse... Avez vous ressentit une gène sous le regard des gardes? Ou rien qu'en leur préscence? Une gène que vous n'aviez jamais eu avant? "

Elle détourna le regard de sa blessure désinfecter pour la regarder dans les yeux.

Linia écouta la réponse de Dentoria en la fixant et soupirant furtivement. Ce n'était pas vraiment ce qu'elle sous entendais, mais c'était intéréssant à savoire quand même. Si cela ce trouve, la perception des humains devait n'être que d'instinct et ne s'en rendait pas compte, cela expliquerais bien des choses dans les attitudes de Linia envers certaines personne.

En tout cas, cela lui apporta plusieurs choses au sujet de cette jeune prêtresse. Comme quoi, même une femme prêtresse donc porte paroles d'un dieu pouvait avoir des craintes futiles. Cela était donc normale. Linia ce dit donc que ça peur des chiens, peur futile, était existante sous plusieurs forme chez les humains. Une peur futile... quoi que, si on regarde bien, il est vrai qu'avoir peur de perdre sa liberté est quelque chose d'horrible. Même si certain s'en moque, ce n'était pas futile, et cela fit sourrire Linia d'une certaine joie et d'un certain amusement.

Linia reprit la parole, après avoir toussetée pour tenter d'attiré le regard de la prêtresse.

" Je m'amuse de savoire ce genre de choses, car cela me fait plaisir que vous me dites qu'en quelque sortes vous avez peurs de ne plus être libre, mais on vas dire que vous venez de vous piègez vous même, car vous 'nauriez pas été obliger de me l'avouez... je voulais juste savoir si vous n'aviez pas ressentie l'effet d'être une proie au milieu de dizaine de chasseur, l'impressions qu'ils n'avaient pas que l'envie de me protéger, mais aussi de vous dévorer, et je ne parle pas de dévorer du regard ou autre, je parle de dévorer comme le fait un loup. Alors dites moi? "

Linia éspérait ne pas avoir été trop direct, mais au moins cette fois elle entendrait la réponse qu'elle voulait entendre. C'était maintenant que ça allait ce jouer... allait elle devoire lui dire toute la vérité ou non?...

Linia écouta ce que dit Dentoria, souriant légèrement d'amusement. Les informations que Dentoria pensait qu'elle allait oublier, elle ne risquait pas de les oubliers. Cette prêtresse étant la première humaine adulte avec qui elle avait confiance, enfin asser confiance pour ne pas porter ni arme, ni mot blessant pour ce protéger. Mais elle prefera ce taire, et laisser son sourrire s'exprimé pour elle.

Mais Linia tiqua au moment où Dento ce mit à réfléchire. Elle cherchait à faire en sorte que cette prêtresse perce le secret de ce manoir, et que même si cela la mettrais en danger. Linia ferait tout pour qu'ensuite personne ne la touche d'un cheveux pour faire taire ce secret. Ce manoir avait trop longtemps garder cela pour lui....

Mais apparement, Linia n'avait pas été asser claire. Dentoria était entrain de lui parler de concevoire le fait qu'elle herbergerait des cannibale, et n'avait donc pas vraiment compris ou Linia voulait en venire....

Elle décida donc de ce lever, elle ouvrit la glace, et prit deux flacons rouges. Elle revint s'asseoir et les laissa à part pour le moment.

"Comme vous n'avez pas l'air de bien saisire ce que j'éssaye de vous dire... je vais vous montrer les médicament personnelles de M.Banji, enfin, feu M.Banji... Mais avant dites moi, ces fioles ne vous ont même pas interpellées? La couleur de ce qu'elles contiennent est pourtant unique, une couleur et une forme que l'on ne vois que dans certains moment..."

Linia ouvrit les deux flacons, les renifla un instant avant de prendre un air dégouté... elle n'avait jamais et ne voudrais jamais éssayer de goûter ce contenue...

Elle les tendits ensuite, après un court moment de songes, vers Dentoria. Elle lui fit signe de faire la même chose qu'elle.

"Et en plus de cela, vous venez d'en voir hors de ces flacons, sortant d'ailleur, de ce liquide... dites moi si cette couleurs ne vous rappele rien, l'odeur peut être? Cherchez bien où je veux en venir. Car mes gardes ne sont pas cannibales, leur sources de nourriture n'étant pas comme eux, enfin pas tout à fait. Quand je disais qu'ils voulaient vous dévorez, c'était vrais, car vous n'êtes pas comme eux, tout comme moi je ne suis pas comme eux, ni comme M.Banji."

Linia esperait avoir été asser claire dans ces paroles et ces gestes...

Linia soupira devant la réaction de Dentoria... Ce pouvait-il qu'au final, elle sois comme les autres. Qu'elle partirais, la repousserais, et refuserais tout contact avec elle juste pour ce détails? Linia ne mesurait pas vraiment l'étendue de ce qu'elle venait de lui avouer, mais elle comprenait une chose : La peur.

Elle n'écouta pas vraiement Dentoria, connaissant deja à peu près le discours par coeur... d'abord un refus dela vériter. La seule chose qui lui fit vraiment mal fut la façon qu'avait eu Dentoria de lui détourner, et une autre chose lui fit mal... "un enfant de suceur de sang est un suceur de sang."....

Linia allait parler, mais n'osa rien dire pour le moment, baissant la tête...

Dentoria essaya ensuite de provuer le fait que cela était impossible. Apparement les humains ne savaient pas grand chose des vampires... Linia se décida enfin à parler.

"Je... ne suis pas... la descendante de sang de... M.Banji, d'où le faites que je m'appele Modoki, alors que je ne suis point mariée. Ensuite, vous savez trop peu de choses sur les vampires... Ils ne craigent pas le soleil, ils ne craignent pas les objets saints, certains étant même chrétien, ils ne craignent pas l'eau bénite, ni même l'ails ou les croix. Ils peuvent être, pourtant, tué comme tout être humains, si on leur vide de leur sang, complètement... Je ne suis pas vampire, ce qui pose un serieux problèmes aux autres, ayant été adoptés par M.Banji, et je ne suis qu'intendnate aux... aux trône du clan vampirique de cette île... Et cela gène beaucoup de gens, vampire bien sûre, que ce soit une humaine qui les diriges... Maintenant si vous voulez partir, comme les autres, et ne plus me revoir, je m'en remettrais, enfin, je ne pense pas, mais c'est comme ça que font la plupart des gens..."

Linia garda la tête baissé, et ne pus maitriser une larme qui roula le long de sa joue, set l'essuya d'un doigts, étonné elle même de pleurer, ce qui n'était plus arriver depuis son enfance...

Linia garda la tête vers le bas, entre ses mains, pendant que Dentoria parlait. En réaliter elle ne l'écoutait plus, elle ne voulait plus entendre. C'était un comportement futile... mais il y'avait une raison pour ça. Elle était entrain de chercher dans sa mémoire le nombre de fois où elle aurait pus mieux faires...

Plus Dentoria parlait, plus Linia s'enfouissait dans ses pensées, sortant de plus en plus de la réalité. Elle pensait à tout ce qu'il aurait fallut faire dans ce genre de moment. Elle avait que deux solution, mais toutes deux dure à accepter. Tué ou enfermer la prêtresse dans ce manoire, ou la laisser partir, subire les foudres du clan, et de perdre encore quelqu'un...

Puis ses pensées ce tournèrent de différentes façon, certaines aurait pus la rendre plus haineuse que les diables en personnes, d'une telle haine qu'elle aurait pus massacre toutes les personnes qui osait être dans le même couloir, la même pièce qu'elle, d'autre la rendre si déséspérer qu'elle aurait pus s'offrire au future roi des vampires. Mais ça nature borné reprend toujours le dessus. C'était sa faute certe, mais elle n'y pouvait rien à part rester ce qu'elle est comme elle est... et pour le moment, elle n'était qu'une humaine au coeur brisé, qui pleurait dans une salle de bain.

D'un coup elle sortit de ces pensées sentant une mains sur ces épaules, et entendit une partit du discours de la prêtresse, l'autre ayant été gravé alors qu'elle n'écoutait pas. Elle garda sa mains sur son visage, l'autre cacher dèrrière son dos, continuant de pleurer, jusqu'a qu'une autre mains vienne lui retirer la sienne pour lui caresser la joue, ainsi que sècher les larmes deja verser, et une autre soulever son menton. Elle se laissa faire, écoutant Dentoria... puis dans un éxcès de tristesse mal controler, elle repoussa les deux mains de la prêtresse pour remettre sa mains sur son visage tout en disant.

" Même si vous voudriez me faire confiance ou m'aidez, à l'intérieur de vous vous me craigniez comme tout le monde. Même en me faisant sortir d'ici, vous me detesteriez instinctivement. De plus, être intendante aux trône me force à rester jusqu'a ce que le nouveau seigneure prenne sa place... Pourquoi devrais-je moi aussi faire confiance à une personne que j'apprécie, mais qui me deteste d'instinct sans même ce l'admettre ou s'en rendre compte? Si, je suis effectivement seule... et vous ne ferez pas exeption à la règle, car comme tout les autres, vous allez me laissez seule à la fin, me mettant dans une solitude que j'ai toujours eu, le seule cadeau de mon coter humain... "

Elle dit tout cela en continuant de pleurer, tombant encore plus bas, sa tête baissé de nouveau au maximum...

Linia écouta cette fois le discours de Dentoria. une chance pour la prêtresse, Linia était trop malheureuse, trop bien éduqueur, et, elle devait se l'avouer, appréciait trop la compagnie de la prêtresse pour ce lever, et la jeter violement contre le mur avant de partir en courrant, et envoyer la garde finir le travail en la mettant à la porte, la jetant par terre et la ridiculisant avant de la laisser partir dans la nuit, ou alors de l'enfermer dans une des chambres qui serait sa prison....

Cette prêtresse l'insultait de sans coeur d'un certains coter, d'égoïste aussi, sans éssayer de comprendre réellement ce que subissait la jeune femme. Malgré tout, et borner comme elle l'est, Linia ne voulut rien dir,e persuader qu'elle était en tord partout, et en serais convaincue jusqu'à ce qu'on arrive à lui prouver le contraire lorsqu'elle serait fraiche et disposer à discuter. Hors, là, aucune discussion ne pouvait être envisageable, vue l'état de Linia, et l'emportement de la prêtresse.

Ce qui la fit tiquer, c'est l'objet percutant le mur avec violence avant de retomber dans la baignoire, et le fait que la prêtresse s'approcha de la porte, l'écartant de son passage. Elle lui dit quelque chose, qui pour le moment semblait illogique. Linia allait forcemment ramener l'objet à la prêtresse, de ses mains ou de celle d'un serviteur.

Lorsqu'elle fut en fin seule, elle se leva, s'approcha de la baignoire pour regarder ceque la prêtresse avait jeter, le prit dans ses mains, avant de serrer les poings et frapper le mur avec une vitesse asser rapide pour être presque considérer comme sonique, projettant une légère vibration autour de son poings, le carrelage du mur ce fraccassant, son poings n'étant pas moins logis. Elle sentait tout de suites qu'elle allait au moin devoir ne plus faire subire à sa mains gauche, porteuse du médaillon, le moindre de choque avant un long moment. Et pourtant, elle frappa de nouveau mais en direction du sol, faisant la même marque au sol. Elle s'assit, le poings douloureux et en sang, et regarda le medaillon, avant de le poser dans sa main droite, ressentant la douleur procurer par son acte.

Elle était sûre d'une chose, elle devrait garder le medaillon à un endroit cacher sur elle, car vue le bruit qu'elle venait de faire, tout le manoir avait du entendre l'onde sonique, et les gardes allait bientôt rappliquer. Ils étaient certes habitué depuis le temps, la dèrnière fois étant arriver il y à peu, lors de l'arriver d'un démon dénommé Jad qui était Roi des démons... et elle lui vouait une haine mortelle. Pourtant, elle ne vouait aucune haine envers Dentoria, ni envers ce médaillon, nan... elle vouait une haine à ce manoir...