Sombrer... (Suite Pv Dentoria)

Linia était rester inconscient un long moment. Le soleil était maintenant lever. Il lui fallut une heure cette fois-ci pour ce rêveiller, en sursaut, ce qui la fit grimacer de douleur. Elle posa sa main sur sa blessure avant de ce rallonger tout doucement dans le lit, après avoir gémit de douleur. Elle regarda autour d'elle, et ce rendit compte au bout de 3 minutes qu'elle était dans un lit, en sous vêtement, et le bas du ventre bander. Elle ne savait même pas où elle était, et tatait autour d'elle à la recherche de ses armes. Elle se redrassa douleursement avant de comprendre qu'elle était encore près de l'eglise, par la simple préscence d'esprit qu'elle possèdait, et suivant la logique où l'hopital était trop lon du cimetière et qu'elle était dans ce qui ressemblait a une maison et non à une chambre d'hopital. Il y'avait aussi le faites que vue le nombre de personne qu'il ya avait dans le cimetière au moment de sa convalescence, elle ne risquait pas d'être chez un hunter ou un psycopathe, quoi que... Non elle ce sentait en sécuritée, et reconnaissait même ce parfum qu'elle n'avait sentit qu'une fois, celui d'une prêtresse... Est-ce que cela ce pouvait-il que ce sois elle qui l'ai amener ici et soigner? Surement.

Linia ce posait plein de question. Pourquoi l'avoir emmener chez elle? Pourquoi l'avoir dépouiller de ses armes... ses armes bon dieu! Les rapières familiales! Les dagues si précieuse! Heuresement pour elle, sa claymore était encore au manoire, entrain d'être retirer, marquer du symboile de la famille Banji comme toutes ses armes. Elles avaient une grandes valeurs, ne serait-ce que symboliquement. Mais c'était aussi des lames faisant partit des rares qui ne pouvait ce briser que sous un poids et une force dépassant l'imagination, l'Ange de la Mort pourrait les briser, le Roi des Démons aussi, mais tout ce qui était inférieur à eux n'avait aucune chance d'y arriver.
L'avoir dépouiller de telles armes, certes la prêtresse ne pouvait comprendre, mais cela était un chocs pour la jeune femme. Elle tatonna autour d'elle, espérant peut être qu'elles ne soient pas trop loin. Non elle n'était pas sur le lit, ce qui était plutot logique. Linia tenta donc de ce lever, s'appuyant contre le lit avant de marcher... un pas... deux pas... et de retomber sur le lit crisper de douleur. Elle frappa le mattela du poing, par simple frustration.

" Hunter, tu ne perd rien pour attendre, enfoiré... je vais te faire regretter le jour où tu à choissis cette voie... Gnn... "

Linia ce touna sur le dos ensuite, pour regarder le plafond. Que faire? Elle n'en savait rien. Elle était venue voire la prêtresse pour lui parler de leur discussion de l'autre soir, il y'a maintenant deux semaines... Mais cela commençait mal. Mais bon elle ne pouvait fuir maintenant, et surtout pas dans son état. Elle sentit soudain quelque chose lui frotter la nuque. Apparement la prêtresse n'aait pas vue, au milieu de tout ses collier symbolique, sa croix... Elle retira ce seul collir pour le regarder. Elle fit ensuite un bref coup de poignet pour faire remonter la croix vers la paume de sa main, la serrant doucement. Elle repensa à l'autre soir. Même si ce fut brève, cela suffit à lui dire de rester ici au moin une journée...

Elle ce rallongea correctement, et attendit, ne se remmettant pas sous les couvertures, regardant les bandage songeuse...

Linia regardait encore ses bandages quand Dnetoria lui fit un léger sursaute, très léger, un haut le coeur, lorsqu'elle lui demanda de ce couvrire, apparement géner par le corps à semie-nue malgré les bandage de la jeune femme, qui ne comprit ps trop cette pudeur, mais mis même la couverture sur son corps, respectant la pudeur de la prêtresse. Elle ne comprenait car, tout simplement, ce n'était pas rare qu'elle sois allonger nue dans son lit pendant que des dizaine de serviteur viennent range ses affaires, sa chambre, lui apporter des documents important. Elle n'avait été pudique. Elle regarda aussi la prêtresse lorsqu'elle parla la voix un peu inquiète, et l'air génée. Elle ouvrit alors la peaume de la main, laissant le collier et la croix pandouiller avant de dire.

" Je vous dois des remmerciments, grâce à vous non je n'aurai pas besoin daller hopital, et ensuite je suis encore en vie. De toute façon je n'y serait même pas rester une heure, sans que quelqu'un vienne me voir et que je disparaisse mystèrieusement par la fenêtre. Les vampires sont très éfficaces pour ça. Ceci est à vous non? "

Linia sourit malicieusement. Elle tendit le bras pour faire signe à Dentoria de prendre le medaillon. Elle enchaina ensuite, après ètre relever pour s'asseoir sur le lit, douloureusement.

" Enfait j'ai repense à notre discussi. et maintenant qu'un nouveau roi arrive, j'ai décider de quitter le manoir... et, même si vous avez deja fait beaucoup, j'aimerais savoir où je pourrais dormir, si vous avez le nom d'un hotel ou autre, cela m'arrangerais. Oh et surtout, qu'avez vous fait de mes armes et de mes vêtement? "

Linia c'était enroulé dans la couverture, en faisant une sorte de vêtement de fortune, le tissus couvrant sa peau jusqu'au coude. Elle regardait la prêtresse avec insistance au sujet de ses armes. Même si cette femme ne pensait surement pas à mal en les lui retirants et ne connaissait pas leur valeurs, cela était asser graves. Pour ses vêtements, c'était plus opour avoir à éviter de ce promener en "couverture" toute la journée...

Linia regarda Dentoria, qui apparait n'arrivait pas à suivre tout ses évenement récents. Il était compréhensible que la prêtresse ait du mal à suivre, fut les enchainement de situation, mais quelque chose surprit Linia chez l'humaine. Elle disait qu'ell lui devait un service? Mais après quoi? Franchement Linia ne comprenait pas les humains aussi bien qu'elle le voudrait. Quand on sauve la vie à quelqu'un logiquement on rembourse n'importe quelle service, même celui d'arrèter des gardes un peu trop brusque et violent. Et elle voulait la garder sous son toit?

Elle ne voulut répondre à cela, car de toute façon elle n'avait, pour le moment, nule part où aller donc... Elle sentit ensuites les mains de la prêtresse ce poser sur ses épaule le court instant où Linia regarda ailleur, ce qui lui fit egarder de nouveaula prêtresse dans les yeux. Elle semblait déterminer,s sa voix ans son regard. Elle ne voulait lui rendre aucune arme, ni même ses vêtement aux multiples facette. Et Linia s'étonna elle même de nas pas réagire violemment malgré cette affront... serait elle devenue molle suite à cette blessure?... Non c'était autre chose, elle le ressentait. M'enfin bon... elle accrocha la croix à son poignet à l'aide de la chaine avant de se lever, gémissente, tenant ses blessure, et alla vers la fenêtre la plus proche pour regarder dehors, ayant toujours la couverture autour d'elle.

" Du moment que vous ne vendez rien, malgré leur grande valeur... et si un homme habiller d'un symbole étrange, ne essemblant pas à celui sur mes armes, le blason des Banji, vous demandes mes armes en disant qu'elles sont à lui, dites lui que ses armes appartiennes à Linia, et qu'elle ne les lui donneras sous aucun pretexte, mais ne dites pas que vous savez où elles sont. Il y'a peu de chance pour que sa arrive, mais si cela arrivait faites bien ce que j'ai dit. "

Linia ouvrit la fenêtre pour respirer un peu d'air du dehors. Il ne faisait pas très froid, le soleil commençant à réchauffer l'atmosphère. Linia poursuivit sur un autre sujet.

" Je suppose que vous travaillez aujourd'hui non? "

La jeune femme n'aimait pas vraiment être toute seule lorsqu'elle ne pouvait bouger à cause d'une blessure, mais elle voulait aussi que la prêtresse reste avec elle pour un raison qui lui était inconnue à elle même.

Linia sourit devant la naïveté de la prêtresse. Non ils ne savaient pas où elle était, mais pourrait la retrouver aisément si ils la cherchaient. Une aura comme la sienne ce ressens facilement, car pour une humaine, son aura était asser forte. Elle ne répondit cependant pas, elle n'avait pas que ça à faire pour le moment, et lui expliquerait plus tard si elle semblerait inquiète. En attendant, Linia préférait laisser son corps à la brise matinale, reitrant légèrement la couverture, avant de la remettre et de ce retourner vers Dentoria pour écouter la suite, s'appuyant contre le rebord de la fenêtre toujours ouverte, croisant les bras.

Apparemment la prêtresse n'allait pas pouvoir travailler correctement d'après ses dires. Elle semblait éffectivement inquiète, mais au point de ne pas pouvoir prier et écouter les jérémiade des gens... enfin, cela prouvait encore que Linia ne connaissait pas asser les humains. Elle lui dit, enfin lui demanda plus tôt, si elle ne voulait pas rester coucher, et que ce serait plus prudent. Linia grimaça lorsqu'elle parla de sa blessure, et du fait qu'elle n'était pas refermer, ce qui voulait dire, en gros, qu'elle allait rester au lit pendant un moment...

Elle alla cependant quand même s'allonger sur ce lit, ramenant la couverture avec. Et s'allonger était déjà une épreuve de force, et elle souffrait rien qu'en ce courbant légèrement pour s'installer sur le lit. Une fois installer, c'était parfait... mais la jeune femme ne supportait pas de na pas bouger plus d'une ou deux heures.

" Vous savez vous vous tenez vraiment du mal pour les autres, ce qui est une noble chose en ce bas monde... pourquoi faites-vous cela? Pourquoi mettre les autres devant vos prioritées, et vos besoin seulement? "

Linia avait le regard ampli d'une soif de comprendre, qui rappelait celui d'un enfant qui voulait découvrir, avec la fermeté d'une tueuse, et la douceur d'une jeune femme. Un sacré mélange de chose dans ce regarde, comme d'habitude. Elle écoutait attentivement la prêtresse, notant chaque détails dans son comportement ainsi que chaque mot un peu soutenue. Que faisait-elle sur terre? Facile, elle tuait des démons et des hunters... enfin c'est ce qu'elle faisait avant, mais maintenant? Ensuite son contenter de soi-même, il n'y avait pas tant de mal à ça, c'est ce que faisait la majorité des vampires, mais elle n'était pas vampire, même pas dans l'âme, elle avait juste besoin d'une raison pour justifier ces actes, et elle le savait, autant qu'elle le sait maintenant.
Puis, à la différence des vampires, elle avait une conscience. Elle faisait souvent des cauchemars atroces après qu'elle ait tuée un humain froidement, sans pitié... alors qu'un vampire s'en fichait souvent comme de la dernière pluie.

En deuxième argument, la jeune prêtresse avança que le monde entier fonctionnait ainsi. Cela était, pour la plupart du temps, faux. Les gens travailleur pour leur employeur certes, seulement car le régime sociale en à décider ainsi. Les dirigeants s'occupe de leur pays seulement car cela leur permet d'avoir du pouvoir et se sentir puissant. Mais bon, Linia voulait bien accepter d'imaginer que les gens le faisait car le monde devait fonctionner ainsi. Et les combattants maintenant la paix? Futile, les combattants était des porteurs de mort, et l'exemple le plus congrès était les Anges de la Mort, ces fameux guerriers qui combattait seulement pour pouvoir prouver leur force au combat, et pourtant de la race angélique. La majorité des combattants le faisait pour ça, seule les gens comme Linia, ce qui était rare, le faisait pour protéger quelque chose qui comptait plus que leur vie, et qui comportait la protection de vie humaine. Mais ils étaient égoïstes quelque part, car il protégeait seulement les personnes chères à leurs yeux...
Mais pour ça aussi, Linia acceptait d'imaginer que tout les combattants faisait d'une pierre de coups, prouvaient leur force ou protégeaiten des êtres chères seulement pour la paix.

Linia ne put s'empêcher de rougir devant le sourire de la prêtresse et au moment où celle-ci prit sa main droite dans les siennes. Elle sourit en réponse à la jeune femme avant de dire.

" Vous avez un point de vue très intéressant comme d'habitude, il faudra que j'y réfléchisse... "

Linia baissa la tête s'assombrissant légèrement, si on ne faisait pas attention aux sourires qui était apparent sur ses lèvres. Elle voyait le trouble de Dentoria et était amuser par le fait qu'elle voulait garder ses problèmes pour elle seule, pour n'inquiéter qu'elle même. C'était certes rater pour la discrétion. Elle resta un instant silencieuse avant de dire, souriante, relevant la tête vers Dentoria, un air doux et compatissant au visage, rassurant même :

" Ne vous en faites pas pour ça, et puis vue dans quelle état cela vous met, on ne vas pas en parler... de toute façon j'ai déjà rencontrer Jad, malgré qu'il m'est gentiment fait comprendre que je ne serais rien de ses intentions ni du fait qu'il s'intéresse à une prêtresse, il m'a juste laissé entendre que c'était important, vue qu'il n'a pas voulue m'en parler, pour lui. Le connaissant il vous fichera relativement la paix, donc pas la peine de revenir sur le passé. Nous vivons dans le présent, et le futurs vue que tout ce que je vais dire dans la seconde même après le moindre mot est du futurs, et que si ont suit la philosophie temporelle, tout finit dans le néant, comme tout est crée du néant, le temps n'étant qu'une chose qui ce doit d'être néant. Je suis aller un peu loin excusez moi, mais je crois que je délire, et que j'ai la fièvre un peu haute. "

Linia ce laisse tomber en arrière, fiévreuse. Cela arrivait souvent, car la jeune femme n'avait été que deux fois malade dans sa vie, et la moindre bactérie causait donc une fièvre asser haute pour terrasser Linia. Mais elle se rétablirait vite, même si elle allait monter facilement dans les 40 de fièvre et être tremper de sueur. Celà allait être fort, mais court, un des rares avantages de sa constitution.

Linia, entendant des paroles, dehors, ce leva en gémissant faiblement. La douleur commençait à ce faire supportable. Elle s'approcha de la fenêtre, enrouler dans la couverture pour former comme un habit. Elle s'assit même sur le rebord de la fenêtre, ce mordant pour retenir les gémissement de douleur, restant discrète. Elle écouta la voix, et pus enfin trouver de qui et d'où elle venait.

- ...qu'elle oublie ces histoires, qu'elle puisse
mieux appréhender la nouvelle vie qui l'attend. Si elle repart en
croisade, je ne pourrais plus lui apporter mon soutient...

Linia ne ce posa même pas la question de qui elle parlait, elle le savait. Elle regarda le ciel et écouta, espionnant peut être, ou alors ce disant que si elle parlait aussi près de la fenêtre, c'est qu'être entendue ne la gênait pas. Elle écouta jusqu'au bout. Apparemment elle parlait toute seule, ou alors au ciel, aux étoiles, ou même à un quelconque dieu. Enfin elle aurait préférer qu'elle parle aux étoiles plutôt qu'à Dieu, car les étoiles symbolisent, dans beaucoup de religion, les ancêtres. Les ancêtres sont certainement plus sage qu'un quelconque Dieu qui aurait crée l'homme à son image, et donc il serait...

Linia pouffa de rire en s'imaginent un dieu asser laid, pervers, avec un magazine peu catholique dans la mains, au milieux de plein d'autre magazine comme le magazine sportif, télé etc..., et surtout entrain d'insulter plein d'ange comme le font souvent les hommes. Une image vraiment ridicule, mais qui serait véridique si dieu à crée l'homme à son image.

En pouffant de rire, elle tomba de là où elle était, dehors, en faisant un jolie "blam" perdant avec la couverture, et poussa un long "Aïïïïiïe" avant de ce dire que là, en tout cas, elle avait fait fort niveau discrétion. Elle resta par terre, les yeux fermer à pousser de faible gémissement en tentant vainement de ce relever.

Elle avait l'air asser stupide dans cette position, entrain de tenter de ce relever et retombant de tout son long à chaque fois. Par contre elle bénit le ciel de ne pas avoir rendue le sol humide, boueux, et l'herbe tout aussi humide, collante, et tachante. Là le seul était relativement sec, ce qui permettait de ne pas ce retrouver à devoir prendre une douche toute de suite, pour ce sentir propre. Là elle pouvait prendre son temps et attendre que la douleur passe encore pour pouvoir confortablement tourner sur elle même... Ou alors, si il-y avait une baignoire, elle prendrait un bain.

Elle ce mit aussi à chercher une excuse pour pas dire "Salut, désolé j'avais entendue ce que vous disiez alors j'ai écoutez aux portes... enfin aux fenêtre, héhé..." Elle avait toujours un petit rire nerveux quand elle était gêner et qu'elle n'avait pas préparer d'excuse... Donc il fallait trouver une excuse auprès de Dentoria, pour éviter de la vexer et de ce retrouver à dormir sur le tapis...